La scoumoune.
La scoumoune, c'est une notion que je maîtrise. Chez nous c'est jamais bien grâve juste assez pour faire rigoler les copains. Mais je vous jure des fois c'est chia*n#t. Et là, cette semaine nouveau rebondissement dans l'affaire du avant/après. J'ai créée une nouvelle rubrique. Je l'appelle la rubrique du plus tard. Vous vous souvenez que je faisais ma maligne avec ma pelouse la plus belle de la rue... Eh bien voilà ce qu'elle est devenu un peu plus tard :
Evidemment, d'autres année j'aurai pû dire que ma pelouse avait cuit sous le soleil. Evidemment cette année le soleil basque a brillé par son absence... C'est pas ça !
Donc, la semaine dernière j'appelle le jardinier de ma voix la plus inquiète et je l'informe du désastre. Sauf que mon jardinier n'a pas eu l'air plus paniqué que ça. Et il s'est chargé de me rassurer en me disant que toutes les pelouses fraîchement plantées ont un moment où elles stagnent pour compenser le rendement qu'on leur a demandé au début. Il suffira de mettre un peu d'engrais au printemps pour que ça reparte. Bon je gobe le morceau. Je me sens toute revigorée en tout cas plus que mon jardin. Et je me fais une raison.
Le week-end passe et dimanche : invasion de chenille. On hésite avec la chenille processionnaire. Bon on attend de voir. Passe le lundi. Dans la journée rien. Le soir elle ressorte, elle grimpe sur les murs, tentent d'entrée dans la maison par la porte de la cave. On fait barrage. Mardi dans la journée rien. Mardi soir : invasion du sous-sol. Franchement, je peux vous dire que la chenille c'est dégueu. Ca pète sous les doigt comme un rien et ça envoie un projectile vert gluant à 360° à la ronde. Beurk ! Un vrai bonheur ! Surtout à 1 heure du matin...
Vive la campagne... |